Elles évoluent à la lisière de notre esprit.
Ici, tout nous semble cohérent , rassurant, en plein lumière.
Là, dans la pénombre, elles prennent un tour inquiétant, des formes impossibles.
Il suffit d’une ombre au tableau pour que la lisière recule et que nous soyons poussés dans nos retranchements.
Notre esprit n’est qu’une construction fragile et le cadre une limite floue.