Nous pensions que l’esprit de ruche n’appartenait qu’à certaines espèces, capables de communiquer notamment par phéromones.
Les hypercolonies nous démontrent que l’humanité peut atteindre cet échange quasi-instantané de pensée. Évidemment, il faut pour cela une concentration de population qui oblitère l’espace intime et la personnalité de l’individu – mais ces soucis éthiques à part, avouez que c’est intéressant.