Faudrait que je le lise le Rire de Bergson. Voir si les réflexions sur le comique, d’un Auvergnat du XIXe siècle, fonctionnent aujourd’hui. Si c’est encore universel et valide, ou si cela traduit l’humour moqueur d’une époque.
Après si ça se trouve, j’aurais matière à écrire un Nouveau Rire, plus en phase avec le monde d’aujourd’hui, où on ne rirait plus de, mais avec. Où le rire contre les puissants redeviendrait la norme.
Cette bonne blague.