La bataille faisait rage. Partout, les cris, les hurlements, la volonté de ne rien lâcher.
Ça vociférait, recharge mon canon, les uns se lamentaient, je suis à court de munitions… Et d’infatigables grouillots, tels des garçons de balle dans un stade empli de bruit et de fureur, couraient dans les rangs pour apporter leur dû à chacun.
Décidément, les jours de match au bar du coin, il ne fallait pas laisser un verre vide !