Dans cette série de tours pendables d’un frère et d’une sœur, cet épisode, il y a longtemps, du frangin qui voulait une cerise pour Noël, et de la famille qui se démenait pour qu’il l’ait, et lui offrait, unique, superbe, comme un joyau sur un écrin, m’avait collé le bourdon. Il l’avalait en effet tout rond – à son grand dam. Me dire que bientôt les gamins pourront dévorer des cerises de Cayenne sous nos latitudes à Noël me déprime encore plus…