Il y eut d’abord la crainte d’une machine unique, dominant toutes les autres par sa supériorité technique.
Puis les modèles évoluèrent, et la réalité des réseaux et de la décentralisation s’imposa, avec sa plus grande robustesse. L’ennemi mécanique devenait une hydre… mais chaque point était vulnérable à parts égales.
La victoire vint non pas en abattant l’un de ces nœuds, mais en le corrompant.