Ils laissèrent la planète au bon soin des plus pauvres. Les petits robots à grands yeux n’avaient pas été inventé, pas assez fiables. Il suffisait aux ultrariches de partir. Trouver mieux ailleurs, revenir, peut-être.
Ils ne revinrent pas. Leur richesse n’étaient pas particulièrement fondée sur leur compréhension du voyage spatial.
La population qui resta, elle, nettoya la planète, débarrassée de la première cause de son dépérissement.