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Quand la tasse de lait et les biscuits ne suffirent plus, les négociations débutèrent. Les tractations prenaient du temps et piétinaient. Pourtant, j’y mettais de la bonne volonté. Du miel dans le lait ? Des biscuits avec des pépites de chocolat ? Les réponses ne me parvenaient que le lendemain matin. Mes petits grévistes étaient invisibles et tenaient à le rester. Comme quoi, embaucher des lutins s’avère parfois compliqué…