Le tyran organisa le tournoi en mettant en jeu rien moins que son trône. Quiconque remporterait l’épreuve pourrait l’affronter en combat singulier et revendiquer la couronne.
Quand les trois cents meilleures femmes et hommes d’armes du pays refusèrent de rejoindre la lice, et s’avancèrent vers la tribune officielle, il comprit qu’il n’avait pas réuni une cohorte d’ambitieux individualistes qu’il pourrait éliminer, mais un corps d’élite solidaire et décidé à le renverser.