Notre espèce a survécu parce qu’elle retient mieux les dangers que les plaisirs. Et d’un point de vue évolutif, ça se tient. Pour la survie, apprécier les baies au miel, c’est bien, mais se méfier des tigres à dents de sabre…
Aujourd’hui, il nous faudrait un bon évolutif qui inverse cette tendance.
Que la joie importe plus, qu’elle se diffuse et se partage mieux que la peur.
Certains politiques s’en mordraient les doigts, mais est-ce un mal ?