Elle détestait la vanille. Pas au point d’en faire une allergie, mais assez pour que l’indifférence laisse place à l’agacement et au dégoût. Parce que c’était la saveur par défaut, qui permet aux autres de s’exprimer, et qu’elle refusait d’être un faire-valoir. Parce que ses parents l’avaient appelée Vahina.