Elle se retourne, et cherche quelqu’un, n’importe qui. N’importe qui de plus honnête que cette bohémienne en faux Chanel, qui tient sa main comme si elle voulait y brûler une verrue avec son porte-cigarettes.
— À l’école, ils nous ont parlé d’un truc… la Marche des libertés. J’ai pas compris à quoi ça servait.
— C’était pour que tout le monde puisse vivre sa différence sans oppression.
“Y a des jours où faut pas Me faire chier, et y a des jours tous les jours.”
Prononcée par des archanges un peu gênés, l’annonce des débuts de l’Apocalypse surprit par sa forme.