Non ce n’est pas (encore) un nouvel épisode de ma virée en Guyane, mais ça pourrait en servir d’introduction.
Les bureaux dans lesquels je travaille sont sous les toits. Pas au sens “chambre de bonne”, non, mais nous avons simplement une gigantesque hauteur sous plafond, avec un mezzanine, et un plafond qui n’est autre que le toit.
Un toit bizarre, cependant. Il n’est pas en tuile ou en ardoise, mais en plastique. De la grosse “tôle” plastique. En deux couches séparées par plus de 10 cm d’air. Curieux, mais pourquoi pas.
Lorsqu’il pleut, évidemment, cela fait une superbe caisse de résonance. Mais bon, admettons. En été pour peu qu’il fasse chaud, nous bénéficions également d’un superbe radiateur…
Mais là où ça se complique, c’est que les 10 cm sont habités. Il doit y avoir un, voire plusieurs trous dans la structure. Des trous suffisamment gros pour laisser passer des furets. Et oui, pour un peu, je travaillerai presque à la campagne !
Toujours est-il que ces bestioles galopent dans le toit. Le seul moyen qui a été trouvé pour les faire dégager, c’est d’enfumer à la naphtaline… Mais comme le dernier enfumage date un peu, là ça couine comme pas permis. Soit les bestioles ont trouvé un nid, soit un petit s’est gaufré dans un coin inaccessible.
La loi de la Jongle, je vous dis…