Cerains matins sont plus joyeux que d’autres. Aujourd’hui semble être à ranger dans la catégorie “autres”.
Newsletter de Télérama :
“Drôle de cuisine autour d’un amendement suspect
Nous avons enquêté sur les députés UMP qui ont proposé un cours d’instruction civique entre 20h30 et 21h00 sur France Télévisions, histoire de rendre nos cerveaux bien disponibles pour la pub sur les chaînes d’à côté. Oui, ils ont bien dîné la veille chez TF1. Non, ce ne sont pas des spécialistes de l’audiovisuel. Détail du menu ? Mystère. De là à dire qu’on leur a fait avaler n’importe quoi… A vous de voir.”
Titres du Monde.fr
“La prison à 12 ans pour les jeunes délinquants”.
Selon “La Croix”, les membres de la commission chargée de réfléchir à la justice des mineurs se sont mis d’accord pour fixer à 12 ans l’âge à partir duquel un enfant peut être pénalement responsable de ses actes. Actuellement, cet âge est laissé à l’appréciation du juge.
Dépèche Macbidouille :
“En septembre dernier le vote surprise mais très large d’un amendement par les députés Européens avait provoqué un large malaise en France. Il rendait illégale toute volonté de riposte graduée, et surtout son point final la coupure de la connexion internet considérée comme liberticide. Hélas, cet amendement vient d’être mis à la trappe par le conseil des ministres européen ce qui a provoqué l’énervement de son initiateur, Guy Bono. Il dénonce de “petits arrangements entre amis pour favoriser les intérêts de certains au détriment de l’intérêt général”. La chose est intéressante (ou plutôt agaçante), car une loi votée par des élus a été enterrée par des personnes qui ont été désignées dans leur fonction, ce qui leur donne une légitimité moins grande. Les députés européens ne comptent pas en rester là et vont de nouveau déposer cet amendement en seconde lecture du texte de loi début 2009. Il faudra un sacré lobying de la part de la France pour arriver à en bloquer une nouvelle fois son passage, surtout que la présidence de l’union ne sera alors plus entre ses mains.”
Je suis content de m’être levé, moi, tiens…