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Les yeux fenêtres de l’âme… jamais une licence poétique ne causa autant de soucis aux juristes que lorsqu’elle servit de base au plaidoyer des Synthétiques pour justifier qu’ils étaient des êtres humains à part entière.
Frédéric Meurin écrit ici aussi.
Les yeux fenêtres de l’âme… jamais une licence poétique ne causa autant de soucis aux juristes que lorsqu’elle servit de base au plaidoyer des Synthétiques pour justifier qu’ils étaient des êtres humains à part entière.