Les premiers soupçons qui pesaient sur elle quand la police identifia les épais buissons de son jardin comme une variété aromatique parfaitement inoffensive de sumac.
Et puis des personnes disparues de longue date refirent surface, ou plutôt leurs cadavres étrangement momifiés. Il fallut tout l’expertise d’une laborantine passionnée de botanique pour se souvenir que ce même sumac aromatique portait des feuilles utilisées… en tannerie.