Une fois dans le futur, je dissimulais ma machine temporelle et déambulais au gré des rues, cherchant à découvrir les contemporains de cette époque.
Avisant une fête foraine, une enseigne “Maison des horreurs” y retint mon attention.
Les gens en sortaient amusés, choqués, échangeant des commentaires.
“Un festival d’atrocités !” me prévint un passant devant mon air interdit.
L’attraction reconstituait le décor d’un bar tabac des années 2000.