On crut d’abord à une coïncidence. Un équivalent du hashtag “soutien aux victimes” fleurit comme à chaque catastrophe… et les victimes guérirent en effet, voyant affluer les dons financiers et les démarches internationales.
Le phénomène se reproduisit, une, deux, trois, à chaque fois.
Il fallut se rendre à l’évidence. Les réseaux sociaux étaient devenus des générateurs de miracles à la demande. Leurs fondateurs devinrent autant de prophètes malgré eux.