La vie est faite de choix. La ré-écriture fait partie de la vie. Paye ta phrase pontifiante.
Note : Cet instantané a été pris lorsque je triais mes notes et mettais de côté certaines idées du premier jet.
Comme je vous l’ai raconté les semaines précédentes, j’étais en pleine interrogation concernant la structure du roman que j’écris actuellement, avec le blocage conséquent qui va bien : à quoi bon poursuivre la rédaction sur une voie qui ne me convient pas.
J’ai fini par trouver une réponse et cela a abouti à virer les chapitres deux et trois que j’avais écrits et à les mettre à la poubelle dans un fichier à part, sait-on jamais que certaines idées retrouvent un usage. Après quelque remaniement, l’ancien chapitre quatre, promu chapitre deux, accélère considérablement le récit et permet l’arrivé de ce personnage principal qui m’intéresse dès le chapitre trois (l’ancien cinq, suivez, un peu). Autant vous dire qu’il va là aussi y avoir pas mal de réorganisation.
Mais le flot est revenu et la progression va reprendre ; et autant vous dire qu’il y a une certaine satisfaction a être sorti de cette ornière structurelle. Plus que deux mois avant l’échéance : ça reste plus que jamais faisable. D’autant que d’autres projets se bousculent au portillon, encore une fois, mais qu’il serait déraisonnable de tout bousculer et d’entamer plusieurs courses simultanées.
Sur ce, j’y retourne.
Et il se pourrait que des informations concernant au moins un autre projet lancé en coulisses il y a de cela quelques mois nous parviennent dans les prochains jours. Affaires à suivre.