Tout d’abord, on commence avec un fond de tiroir datant de janvier, mois durant lequel j’avais commencé la lecture du premier tome du Cycle des aventuriers de la mer. Autant l’avouer de suite, l’ouvrage avait une forte propension à me tomber des mains. Page 275, le récit se réveille enfin. Sur 320, c’est assez raide : la faute à une publication française qui scinde en trois tomes ce qui en anglais n’en est en réalité qu’un. La longueur de l’exposition serait plus acceptable une fois remise dans son “vrai” contexte, à savoir un pavé de 900 pages.
Au delà de ces considérations éditoriales, on peut quand même reprocher à Robin Hobb, l’auteur, de délayer la sauce un peu trop. A suivre.