Rentrée littéraire (Je bouquine 7)
Comme dit Cochon, je poursuis ma rentrée littéraire. Voici donc ce que j’ai lu en Septembre, et ce que j’en ai pensé.
J'aligne des mots. Parfois ça fait des histoires.
Comme dit Cochon, je poursuis ma rentrée littéraire. Voici donc ce que j’ai lu en Septembre, et ce que j’en ai pensé.
Depuis quelques temps déjà, une expression revient systématiquement dans la partie mots-clés de mon outil d’analyse statistique. Cet outil me permet de savoir d’où viennent mes lecteurs : entrée directe, lien depuis un site, et le cas échéant, lequel, moteur de recherche, et là encore, lequel et avec quel mot clé.
Présentation des personnages :
A ma gauche, Google, poids lourd trou noir du web.
A ma droite, Bo Fowler, auteur du génialissime Scepticisme & Cie.
Que se passe-t-il quand les deux se rencontrent ? Comment faire lorsqu’on a de l’argent à ne plus savoir qu’en faire, et qu’on est à court d’idée pour aider l’humanité ? Qui sait ?
J’aime bien 24, la série où Kiefer Sutherland incarne un agent gouvernemental, en fuite à partir de la cinquième saison. Evidemment, je me demande toujours comment il fait pour
mais ces détails sont somme toute assez peu importants.
Suite à quelques remarques désobligeantes qui m’ont prodigieusement gonflé, de gens qui ne font jamais la cuisine autrement que pour sortir du Picard du congelo, ou pour reproduire la même recette de gâteau au chocolat basique depuis 15 ans, je me suis mis en quête de la recette de cookie ultime, celle qui serait à la fois moelleuse, tendre et craquante sur les bords.
Histoire de ne pas leur en donner. Na.
et la Star Academy a repris. C’est la huitième édition. Beau chiffre, 8. Ça donne une idée de l’infini, tout ça.
Vu hier sur la Brocante de Maisons-Laffite. Attention, c’est digne d’un inventaire à la Prévert…
Ne me demandez pas pourquoi, je comparais le Ramadan et le Carême, en me disant que tout de même, le Ramadan, c’était vachement plus dur, quoique plus festif (on mange très bien le soir et le matin, ce n’est pas un jeûne intégral non plus).
Et tout d’un coup, j’ai eu une illumination – rassurez-vous je ne me convertis à rien.
J’avais parlé, en d’autres colonnes, de l’origine de l’expression “Ça va ?” Détaillons ici l’expression beaucoup moins connue “Se faire appeler Arthur”, synonyme de “se faire enguirlander”, et ayant pour résultat d’avoir les boules, comme un sapin… Je m’égare… D’où…
Savoir plus
1943 – 2008